3 novembre

Mgr Carlo Maria Viganò écrit à Donald Trump pour lui parler du Great Reset

Mgr Viganò par cette lettre publique demande au président Trump, le met en garde contre le ‘grand Reset’ prévu par les mondialistes afin d’anéantir nos libertés. Il est actuellement le seul à tenir un tel langage.

source : Le blog de Jeanne Smits

Dimanche, le 25 octobre 2020
Solennité du Christ-Roi

Monsieur le Président,

Permettez-moi de vous m’adresser à vous en cette heure où le destin du monde entier est mis en danger par une conspiration mondiale contre Dieu et l’humanité. Je vous écris en tant qu’archevêque, en tant que successeur des Apôtres, en tant qu’ancien Nonce apostolique des États-Unis d’Amérique. Je vous écris au milieu du silence des autorités tant civiles que religieuses. Puissiez-vous accepter ces paroles qui sont les miennes comme « la voix de quelqu’un qui crie dans le désert » (Jean 1 :23).

7 janvier

Jean de Viguerie raconte Mai 68

Le professeur Jean de Viguerie, né le 24 février 1935, a été rappelé à Dieu le 15 décembre 2019.
En hommage à ce grand historien, nous rendons ici public la conférence sur mai 68 qu’il donnait au Couvent de la Haye-aux-Bonshommes le 17 juin 1988 :

29 juin

Le protestantisme, né de la folie, mène à la folie

Le délire et le fanatisme sont dans le protestantisme comme dans leur élément naturel.

On pourrait, pour le prouver, remplir de gros volumes. Je me limite à un rapide aperçu, fondé sur le simple témoignage des faits.

Luther discute avec le diable

Je commence par Luther. Est-il au monde une plus grande folie que de prétendre avoir été enseigné par le Diable, de s’en glorifier et d’établir une doctrine nouvelle sur cette puissante autorité ? C’est pourtant ce qu’a fait le fondateur du protestantisme, Luther lui-même, qui a consigné dans ses ouvrages le témoignage de son entrevue avec Satan.

Que l’apparition ait été réelle ou qu’elle ait hanté les rêves d’une nuit agitée par la fièvre, il est impossible de porter plus loin le fanatisme que de se vanter d’avoir eu un tel maître.

28 mai

L’Église et la science

Un savant dont le nom illustre les rapports entre l’Église et la science ?

Posez cette question à un Français moyen, et vous verrez la réponse !

Vous citera-t-il saint Bède le Vénérable († 735), auteur d’une savante étude sur les marées ?
Le moine bénédictin Gui d’Arezzo (990-1050), père des notes de musique ?
Le grand mathématicien Gerbert, plus connu sous le nom de Sylvestre II (le pape de l’an mil : 999-1003) ?
Peut-être le dominicain saint Albert le Grand (1193-1280), qui domina toute la science de son temps ?

Ou bien le franciscain Roger Bacon (1214-1294), qui énonça dès le 13e siècle les principes de la science expérimentale (avec le soutien du pape Clément IV) ?
Le chanoine Copernic, astronome de génie (qui affirma le mouvement de la terre autour du soleil bien avant Galilée) ?
Le jésuite Christophe Clavius (1537-1612), qui prépara la réforme du calendrier en 1581 (pour corriger l’erreur du calendrier julien utilisé depuis Jules César) ?
De la même Compagnie de Jésus, le père Christoph Scheiner (1575-1650), qui mesura la période de rotation du soleil ?

31 octobre

La folie autodestructrice du protestantisme

Le principe protestant (Sola Scriptura)

L’autorité de l’Église est inutile pour comprendre le texte sacré, déclare le Protestantisme. Chaque chrétien n’a besoin que d’écouter au dedans de lui-même. Hélas ! n’est-il pas clair qu’il n’y entendra, le plus souvent, que ses passions et ses délires ? Par cette seule erreur, n’eût-il commis que celle-là, le Protestantisme s’est réprouvé, s’est condamné lui-même, posant un principe par lequel il s’auto-détruit.

La Bible n’est pas simple à comprendre

Pour apprécier sur ce point la folie du Protestantisme, il n’est point nécessaire d’être théologien ni même catholique. Il suffit de lire l’Écriture sous l’angle de la littérature ou de la philosophie.

17 octobre

La propagation miraculeuse du christianisme

Me transportant par la pensée au temps où toutes les nations étaient idolâtres, je suppose qu’au moment où Jésus commence à parcourir la Judée pour y annoncer sa religion, il est rencontré par un philosophe très versé dans toutes les connaissances que le monde estime. Je suppose que ce philosophe demande à Jésus :

Quel est votre dessein en parcourant ainsi les villes et les bourgs de la Judée pour enseigner au peuple une doctrine nouvelle ?

— Mon dessein, répond Jésus, est de réformer les mœurs de toute la terre, de changer la religion de tous les peuples, de détruire le culte des dieux qu’ils adorent, pour faire adorer le seul Dieu véritable, et quelque étonnante que paraisse mon entreprise, j’affirme qu’elle réussira.

— Mais êtes-vous plus sage que Socrate, plus éloquent que Platon, plus habile que tous les génies qui ont illustré Rome et la Grèce ?

— Je ne me pique pas d’enseigner la sagesse humaine, je veux convaincre de folle la sagesse de ces sages, et la réforme qu’aucun d’eux n’eût osé tenter dans une seule ville, je veux l’opérer dans le monde entier par moi et par mes disciples.

— Mais, du moins, vos disciples, par leurs talents, leur crédit, leurs richesses jetteront un si grand éclat, qu’ils pourront entraîner après eux, la multitude ?

— Non, mes envoyés seront des hommes ignorants et pauvres, tirés de la classe du peuple, issus de la nation juive qu’on sait être méprisée de toutes les autres ; et cependant, c’est par eux que je veux triompher des philosophes et des puissants de la terre comme de la multitude.

— Recruterez-vous des légions pour employer la force des armes ?

22 août

Éloge du lutherrorisme

Pas de repentance pour le pasteur

Loin de faire repentance pour le lutherrorisme, le pasteur Philippe de Robert, déclarait le dimanche 1er septembre 2002, au Mas Soubeyran, lors d’une assemblée du désert célébrant le 3e centenaire de la révolte des camisards protestants :

Pasteur Philippe de Robert

« C’est vrai, ils ont commencé par tuer un prêtre, ils ont brûlé des églises, ils ont détruit des villages, ils ont pratiqué des exécutions sommaires. Les camisards n’étaient pas des saints. Ce faisant ils ne sont pas en mauvaise compagnie. Tant de meurtriers, de violents, de révoltés, tant de minorités rebelles à travers le monde et au cours de l’histoire, de Spartacus à Che Guévara, qui se sont battus avec le même acharnement sont aujourd’hui salués comme des héros. Oui, les camisards étaient des terroristes, mais comme l’étaient il y a une soixantaine d’années, dans le discours de l’occupant, ceux que nous appelons résistants ou maquisards.

Si l’on ne rendait hommage qu’aux parfaits non violents, aux seuls apôtres de la paix, à ceux qui ont supporté les pires injustices, à ceux qui les ont tolérées, avec ou sans état d’âme quand elle frappaient leurs voisins, notre histoire serait fade. Si notre histoire a du sel, si elle a du nerf, c’est parce que certains n’ont pas reculé devant le geste nécessaire, fût-il violent, parce que certains n’ont pas renoncé à la parole indispensable, dût-elle troubler l’ordre public, parce que des opprimés, en se défendant les armes à la main, ont affirmé les Droits de l’homme, et que des prophètes, en combattant les idoles, ont rappelé les Droits de Dieu. Les camisards avaient manifestement la conviction de mener une guerre sainte ».

1 mars

Les méthodes du Lutherrorisme


On vous vante Luther ?
Répondez d’un seul mot : Lutherrorisme !"Theatre des cruautez des Hereticques de nostre temps"

Car c’est par la violence, le pillage, la tyrannie et les massacres que le protestantisme a dominé la moitié de l’Europe, il y a cinq siècles.

En un mot : par la Terreur. Yves Gérardin le montre en détails dans un article intitulé : « 1517-1617 : un siècle de Lutherrorisme », dans le dernier numéro de la revue Le Sel de la terre (numéro 99, hiver 2016-2017).

Premier exemple : la Suède, où sévit le roi luthérien Gustave Vasa (1496-1560). à des sujets nés catholiques, et voulant le rester, Gustave Vasa impose de force sa nouvelle religion. Des réclamations, puis des révoltes populaires se succèdent aux quatre coins du pays. Le pieux roi luthérien les fait noyer dans le sang. Quand il est en position de faiblesse, il promet toutes sortes d’arrangements. Quand tout est rentré dans l’ordre, il fait massacrer les naïfs qui l’ont cru. Pour crime de catholicisme, il fera même condamner à mort des compagnons qui lui avaient sauvé la vie ou procuré le trône.